Devant un enfant on ne parle ni d’argent, ni d’amitié trahie, ni d’amour déçu, ni de vieillesse à charge. Ni de la fin de l’enfance. Il vaut son poids d’or et de ciel, ce droit de penser, agir, rêver sans conséquence.
Devant un enfant on ne parle ni d’argent, ni d’amitié trahie, ni d’amour déçu, ni de vieillesse à charge. Ni de la fin de l’enfance. Il vaut son poids d’or et de ciel, ce droit de penser, agir, rêver sans conséquence. Jean François Deniau