Devenu délicat, l’esprit se refuse à tout autre nourriture qu’un consommé d’idée ou de sentiment. Il ne digère plus même ses chefs d’œuvre, s’ils ne sont pas tout à fait substantiels.
Devenu délicat, l’esprit se refuse à tout autre nourriture qu’un consommé d’idée ou de sentiment. Il ne digère plus même ses chefs d’œuvre, s’ils ne sont pas tout à fait substantiels. Edmond Thiaudière