Douce ta peau comme la soie blanche – Si douce que mes mains à la caresser imaginent – Le cri presque silencieux d’un violon qui s’étire – Le frôlement d’un gant sur un tambour voilé
Douce ta peau comme la soie blanche – Si douce que mes mains à la caresser imaginent – Le cri presque silencieux d’un violon qui s’étire – Le frôlement d’un gant sur un tambour voilé Jaudrent François