Eh ! quel est le mortel à son heure dernière, – Qui, jetant sur la vie un regard en arrière, – Ne gémirait d’avoir laissé s’évanouir – Les instants de bonheur dont il pouvait jouir.
Eh ! quel est le mortel à son heure dernière, – Qui, jetant sur la vie un regard en arrière, – Ne gémirait d’avoir laissé s’évanouir – Les instants de bonheur dont il pouvait jouir. François de Neufchâteau