Elle aimait ce moment d’incomparable douceur où la conscience s’éteint peu à peu, tandis que les sensations du corps s’évanouissent dans le bien-être de l’oubli. Elle pensait que le moment de la mort devait être pareil, celui d’un grand apaisement et elle ne comprenait pas pourquoi hommes et femmes avaient si peur de mourir.
Elle aimait ce moment d’incomparable douceur où la conscience s’éteint peu à peu, tandis que les sensations du corps s’évanouissent dans le bien-être de l’oubli. Elle pensait que le moment de la mort devait être pareil, celui d’un grand apaisement et elle ne comprenait pas pourquoi hommes et femmes avaient si peur de mourir. Barjavel