Elle avait la beauté des femmes russes, avec ce regard à la densité d’un roman tragique de huit cents pages.
Elle avait la beauté des femmes russes, avec ce regard à la densité d’un roman tragique de huit cents pages. David Foenkinos
Elle avait la beauté des femmes russes, avec ce regard à la densité d’un roman tragique de huit cents pages. David Foenkinos