En déchirant mon enfance je touche à celle des autres. Comme l’âge d’or, dont on prétend qu’il se trouve derrière nous, le paradis se confond avec les limbes.
En déchirant mon enfance je touche à celle des autres. Comme l’âge d’or, dont on prétend qu’il se trouve derrière nous, le paradis se confond avec les limbes. Hervé Bazin