Enfanter, ce n’est rien ; mais nourrir, c’est enfanter à toute heure. Oh ! Louise, il n’y pas de caresses d’amant qui puissent valoir celles de ces petites mains roses qui se promènent si doucement, et cherchent à s’accrocher à la vie.
Enfanter, ce n’est rien ; mais nourrir, c’est enfanter à toute heure. Oh ! Louise, il n’y pas de caresses d’amant qui puissent valoir celles de ces petites mains roses qui se promènent si doucement, et cherchent à s’accrocher à la vie. Honoré de Balzac