Enfin votre amitié, vos soins, votre vaillance, – A mes vastes desseins ont rendu l’espérance ; – Et j’ai cru satisfaire, en cet affreux séjour, – Deux vertus de mon coeur, la vengeance et l’amour.
Enfin votre amitié, vos soins, votre vaillance, – A mes vastes desseins ont rendu l’espérance ; – Et j’ai cru satisfaire, en cet affreux séjour, – Deux vertus de mon coeur, la vengeance et l’amour. Voltaire