Et là, tout devient simple. Il faut aimer ce qui advient, « amor fati », « aime ton destin », voilà ma formule pour toute chose. C’est d’ailleurs la formule de la joie, sinon du bonheur – du moins de la conjuration du malheur.
Et là, tout devient simple. Il faut aimer ce qui advient, « amor fati », « aime ton destin », voilà ma formule pour toute chose. C’est d’ailleurs la formule de la joie, sinon du bonheur – du moins de la conjuration du malheur. Michel Onfray