Et meure Pâris ou Hélène, – Quiconque meurt, meurt à douleur. – Celui qui perd vent et haleine, – Son fiel se crève sur son cœur.
Et meure Pâris ou Hélène, – Quiconque meurt, meurt à douleur. – Celui qui perd vent et haleine, – Son fiel se crève sur son cœur. François Villon