Et puis, il y a les grosses, les joufflues, les charnues, les fessues, celles qui inquiétaient tant les puritains anglo-saxons qui, au XIXème siècle voyaient dans les tomates l’œuvre du diable.
Et puis, il y a les grosses, les joufflues, les charnues, les fessues, celles qui inquiétaient tant les puritains anglo-saxons qui, au XIXème siècle voyaient dans les tomates l’œuvre du diable. Michèle Barrière