Et, sur la table nue où le marbre veiné – A quelque chair ancienne et pâle s’apparente, – Effeuille le bouquet que l’Amour t’a donné.
Et, sur la table nue où le marbre veiné – A quelque chair ancienne et pâle s’apparente, – Effeuille le bouquet que l’Amour t’a donné. Henri de Régnier