Être debout, c’est être encore trop grande, trop haute face au choc terrassant de la vérité. Pour soutenir cette vérité sans vertige, il faut être à terre, déjà tombée.
Être debout, c’est être encore trop grande, trop haute face au choc terrassant de la vérité. Pour soutenir cette vérité sans vertige, il faut être à terre, déjà tombée. Noëlle Châtelet