Georges Jacques Danton
Dans la première Assemblée constituante, Marat n’était ni moins terrible aux aristocrates, ni moins odieux aux modérés. Eh bien ! Marat y trouva des défenseurs il disait aussi que la majorité était mauvaise, et elle l’était.
Dans la première Assemblée constituante, Marat n’était ni moins terrible aux aristocrates, ni moins odieux aux modérés. Eh bien ! Marat y trouva des défenseurs il disait aussi que la majorité était mauvaise, et elle l’était.