Hélas ! que je me suis trompé sur la durée de mes jours ! et cependant, pour des yeux que ne fascine point l’amour-propre, la vérité parle dans un miroir. Malheureux celui qui plein de sa passion et follement inattentif au vol rapide du temps, se trouve comme moi, tout-à-coup, au déclin de sa vie !.
Hélas ! que je me suis trompé sur la durée de mes jours ! et cependant, pour des yeux que ne fascine point l’amour-propre, la vérité parle dans un miroir. Malheureux celui qui plein de sa passion et follement inattentif au vol rapide du temps, se trouve comme moi, tout-à-coup, au déclin de sa vie !. Michel-Ange