Hier, la nuit d’été, qui nous prêtait ses voiles, Était digne de toi, tant elle avait d’étoiles ! Tant son calme était frais, tant son souffle était doux ! Tant elle éteignait bien ses rumeurs apaisées ! Tant elle répandait d’amoureuses rosées Sur les fleurs et sur nous !.
Hier, la nuit d’été, qui nous prêtait ses voiles, Était digne de toi, tant elle avait d’étoiles ! Tant son calme était frais, tant son souffle était doux ! Tant elle éteignait bien ses rumeurs apaisées ! Tant elle répandait d’amoureuses rosées Sur les fleurs et sur nous !. Victor Hugo