Ici sont déposés les restes d’un être qui posséda la beauté sans vanité, la force sans insolence, le courage sans férocité, et toutes les vertus de l’homme sans ses vices. Cet éloge, qui ne serait qu’une plate et insignifiante flatterie s’il s’adressait à des cendres humaines, n’est qu’un juste tribut à la mémoire de Boatswain, chien, né à Newfoundland, en mai i8o3, mort à Newstead-Abbey, le 18 novembre 1808.
Ici sont déposés les restes d’un être qui posséda la beauté sans vanité, la force sans insolence, le courage sans férocité, et toutes les vertus de l’homme sans ses vices. Cet éloge, qui ne serait qu’une plate et insignifiante flatterie s’il s’adressait à des cendres humaines, n’est qu’un juste tribut à la mémoire de Boatswain, chien, né à Newfoundland, en mai i8o3, mort à Newstead-Abbey, le 18 novembre 1808. Lord Byron