Il a toujours l’aura que j’avais sentie le jour où je l’avais vu pour la première fois, une présence qui propulse mon estomac sur l’échelle menant au plongeoir d’une finale des Jeux Olympiques.
Il a toujours l’aura que j’avais sentie le jour où je l’avais vu pour la première fois, une présence qui propulse mon estomac sur l’échelle menant au plongeoir d’une finale des Jeux Olympiques. Cecelia Ahern