Il aurait aimé étreindre l’ocre tendre du ciel par-dessus les toits, s’allonger nu et laisser le vent l’emporter comme un nuage jusqu’au secret de l’azur, mourir peut-être.
Il aurait aimé étreindre l’ocre tendre du ciel par-dessus les toits, s’allonger nu et laisser le vent l’emporter comme un nuage jusqu’au secret de l’azur, mourir peut-être. Hubert Haddad