Il en est du journal intime comme de la prière et de la vie intérieure : plus on le néglige, moins il est attrayant ; moins on en use, moins on en peut user ; plus on le pratique, plus on l’aime.
Il en est du journal intime comme de la prière et de la vie intérieure : plus on le néglige, moins il est attrayant ; moins on en use, moins on en peut user ; plus on le pratique, plus on l’aime. Henri Frédéric Amiel