Il est heureux que le temps fasse disparaître de la surface du monde la multitude des monuments funèbres, qu’il efface et couvre de fleurs les sépultures et les champs de bataille ; autrement nous reviendrions de chacune de nos promenades le cœur gros de soupirs.
Il est heureux que le temps fasse disparaître de la surface du monde la multitude des monuments funèbres, qu’il efface et couvre de fleurs les sépultures et les champs de bataille ; autrement nous reviendrions de chacune de nos promenades le cœur gros de soupirs.
Jean-Paul