Il est remarquable que dans un compartiment de chemin de fer où ont dû être entassés plus de voyageurs qu’il n’y a de places à occuper, ce sont généralement les voyageurs debout qui sourient et les voyageurs assis qui ont l’air furieux.
Il est remarquable que dans un compartiment de chemin de fer où ont dû être entassés plus de voyageurs qu’il n’y a de places à occuper, ce sont généralement les voyageurs debout qui sourient et les voyageurs assis qui ont l’air furieux. Émile Berr