Il est un continent perdu dont nous sommes les seuls arpenteurs, les seuls détenteurs des clés,et c’est le tintement de ces clés,au fond de notre poche,qui enchante en nous le veilleur émerveillé.
Il est un continent perdu dont nous sommes les seuls arpenteurs, les seuls détenteurs des clés,et c’est le tintement de ces clés,au fond de notre poche,qui enchante en nous le veilleur émerveillé. Éric Faye