Il n’y a pas cinquante kilomètres carrés de notre pays qui n’aient vu naître un écrivain. C’est trop. Il ne reste plus de place pour les lecteurs.
Il n’y a pas cinquante kilomètres carrés de notre pays qui n’aient vu naître un écrivain. C’est trop. Il ne reste plus de place pour les lecteurs. Charles Dantzig