Il n’est pas utile de savoir où l’on va. Ni de chercher un lieu où aller. Le monde se propose à notre appétit quand il le veut. Il s’ouvre. Il dégage des perspectives, élargit le brin d’herbe jusqu’à la forêt et le coin de fenêtre tout entier. On ne voyage que dans l’abandon. Sans horaires. Et de préférence sans retour.
Il n’est pas utile de savoir où l’on va. Ni de chercher un lieu où aller. Le monde se propose à notre appétit quand il le veut. Il s’ouvre. Il dégage des perspectives, élargit le brin d’herbe jusqu’à la forêt et le coin de fenêtre tout entier. On ne voyage que dans l’abandon. Sans horaires. Et de préférence sans retour. Franz Bartelt