Il n’y a aucune vertu, si parfaite qu’elle soit, qui n’ait des envieux et des médisants.
Il n’y a aucune vertu, si parfaite qu’elle soit, qui n’ait des envieux et des médisants. Fernando de Rojas
Il n’y a aucune vertu, si parfaite qu’elle soit, qui n’ait des envieux et des médisants. Fernando de Rojas