Il n’y a d’autres remèdes à cette maladie épidermique que l’esprit philosophique, qui, répandu de proche en proche, adoucit enfin des moeurs des hommes, et qui prévient les accès du mal ; car dès que ce mal fait des progrès, il faut fuir, et attendre que l’air soit purifié.
Il n’y a d’autres remèdes à cette maladie épidermique que l’esprit philosophique, qui, répandu de proche en proche, adoucit enfin des moeurs des hommes, et qui prévient les accès du mal ; car dès que ce mal fait des progrès, il faut fuir, et attendre que l’air soit purifié. Voltaire