Il n’y a peut-être aucune musique qui exprime, aussi bien que les derniers morceaux de musique de chambre composés par Franz Liszt, ce sentiment funèbre et doux du vieillard dont tous les amis sont déjà morts, dont la vie est essentiellement terminée, qui appartient en quelque sorte déjà au passé et qui sent à son tour la mort s’approcher, qui la voit comme une soeur, comme une amie, comme la promesse d’un retour à la maison natale.
Il n’y a peut-être aucune musique qui exprime, aussi bien que les derniers morceaux de musique de chambre composés par Franz Liszt, ce sentiment funèbre et doux du vieillard dont tous les amis sont déjà morts, dont la vie est essentiellement terminée, qui appartient en quelque sorte déjà au passé et qui sent à son tour la mort s’approcher, qui la voit comme une soeur, comme une amie, comme la promesse d’un retour à la maison natale. Houellebecq