Il y a, à l’heure de la mort, une obligation de décence. Cet instant de basculement doit conserver une dignité si l’on veut demeurer humain. Quel que soit, par ailleurs, le jugement qu’on porte sur le mourant et ses actes. Oui, même s’il s’agit du pire des criminels.
Il y a, à l’heure de la mort, une obligation de décence. Cet instant de basculement doit conserver une dignité si l’on veut demeurer humain. Quel que soit, par ailleurs, le jugement qu’on porte sur le mourant et ses actes. Oui, même s’il s’agit du pire des criminels. Amin Maalouf