Il y a bien des raisons de mourir. Sans doute y en a-t-il autant de vivre. C’est pourquoi les unes et les autres se tiennent plus ou moins en équilibre : on ne vit pas, on ne meurt pas, on se laisse vivre et puis on se laisse mourir.
Il y a bien des raisons de mourir. Sans doute y en a-t-il autant de vivre. C’est pourquoi les unes et les autres se tiennent plus ou moins en équilibre : on ne vit pas, on ne meurt pas, on se laisse vivre et puis on se laisse mourir. Philippe Forest