J’ai toujours gardé de l’affection, de la tendresse pour les hommes avec qui j’ai couché, bien ou mal. C’est assez rare, semble-t-il. Mais en une nuit, dans un lit, il y a toujours un moment où l’on est plus proche de l’homme qui les partage avec vous que du reste de la terre, et personne ne me fera croire le contraire.
J’ai toujours gardé de l’affection, de la tendresse pour les hommes avec qui j’ai couché, bien ou mal. C’est assez rare, semble-t-il. Mais en une nuit, dans un lit, il y a toujours un moment où l’on est plus proche de l’homme qui les partage avec vous que du reste de la terre, et personne ne me fera croire le contraire. Françoise Sagan