J’ai souvent remarqué que les ravages de la maladie semblent dégager les traits profonds du caractère, décaper les visages du superflu pour faire ressortir l’essentiel. . Chez les uns on découvre étonné une énergie inconnue, chez les autres une vulgarité, une bassesse insoupçonnée, parfois une innocence d’enfant.
J’ai souvent remarqué que les ravages de la maladie semblent dégager les traits profonds du caractère, décaper les visages du superflu pour faire ressortir l’essentiel. . Chez les uns on découvre étonné une énergie inconnue, chez les autres une vulgarité, une bassesse insoupçonnée, parfois une innocence d’enfant. Pierre Schoendoerffer