J’ai toujours été hostile à la peine de mort, estimant qu’en aucun cas elle ne saurait constituer un acte de justice. Personne, selon moi, n’est en droit de porter atteinte à la vie humaine. J’ai beaucoup regretté qu’on ait tant tardé à prendre une telle décision. Mais celle-ci ne pouvait venir que du chef de l’Etat, seul détenteur du pouvoir de gracier ou non un condamné.
J’ai toujours été hostile à la peine de mort, estimant qu’en aucun cas elle ne saurait constituer un acte de justice. Personne, selon moi, n’est en droit de porter atteinte à la vie humaine. J’ai beaucoup regretté qu’on ait tant tardé à prendre une telle décision. Mais celle-ci ne pouvait venir que du chef de l’Etat, seul détenteur du pouvoir de gracier ou non un condamné. Jacques Chirac