J’appelais de mes voeux la parution du chef-d’oeuvre de l’écrivain véritable : un livre blanc, constitué de pages blanches, sans un seul mot. Au lecteur d’y lire ce qu’il voudrait, au gré de sa plus grande liberté.
J’appelais de mes voeux la parution du chef-d’oeuvre de l’écrivain véritable : un livre blanc, constitué de pages blanches, sans un seul mot. Au lecteur d’y lire ce qu’il voudrait, au gré de sa plus grande liberté. Driss Chraibi