J’avais toujours rêvé le bonheur en ménage, – Comme un port où le coeur, trop longtemps agité, – Vient trouver, à la fin d’un long pèlerinage, – Un dernier jour de calme et de sérénité.
J’avais toujours rêvé le bonheur en ménage, – Comme un port où le coeur, trop longtemps agité, – Vient trouver, à la fin d’un long pèlerinage, – Un dernier jour de calme et de sérénité. Félix Arvers