Je commence à croire dans ces minutes que je ne serai jamais capable de vivre une vraie vie ; parce qu’il me semble déjà que j’ai perdu tout sens du tact, toute sensation du réel, du présent ; parce que, pour finir, après le fantastique de mes nuits, je suis assailli par des minutes de réveil, des minutes effrayantes !.
Je commence à croire dans ces minutes que je ne serai jamais capable de vivre une vraie vie ; parce qu’il me semble déjà que j’ai perdu tout sens du tact, toute sensation du réel, du présent ; parce que, pour finir, après le fantastique de mes nuits, je suis assailli par des minutes de réveil, des minutes effrayantes !. Fédor Dostoïevski