Je compare la fortune à l’une de ces rivières torrentueuses qui, dans leur colère, noient à l’entour les plaines, détruisent les arbres et maisons, dérobent d’un côté de la terre pour la porter ailleurs ; chacun fuit devant elles, tout le monde cède à leur fureur, sans y pouvoir mettre rempart aucun.
Je compare la fortune à l’une de ces rivières torrentueuses qui, dans leur colère, noient à l’entour les plaines, détruisent les arbres et maisons, dérobent d’un côté de la terre pour la porter ailleurs ; chacun fuit devant elles, tout le monde cède à leur fureur, sans y pouvoir mettre rempart aucun. Machiavel