Je crois même qu’une mère n’aimerait pas moins un enfant qu’on lui aurait changé en nourrice, si elle l’avait reçu de bonne foi pour le sien, si elle avait pris soin de sa première éducation, et s’était habituée à le caresser et à le chérir.
Je crois même qu’une mère n’aimerait pas moins un enfant qu’on lui aurait changé en nourrice, si elle l’avait reçu de bonne foi pour le sien, si elle avait pris soin de sa première éducation, et s’était habituée à le caresser et à le chérir. Goldoni