Je crois que les arbres souffrent quand on leur scie le tronc et que mes plantes vertes flétrissent quand je néglige de leur parler, qu’elles ont quelque chose comme un système nerveux qui les avertit de ma sollicitude.
Je crois que les arbres souffrent quand on leur scie le tronc et que mes plantes vertes flétrissent quand je néglige de leur parler, qu’elles ont quelque chose comme un système nerveux qui les avertit de ma sollicitude. Françoise Giroud