Je dis dans ces narrations qu’il n’y a rien comme la patrie et la liberté pour élever l’âme. Je ne sais pas ce que c’est que la liberté, moi, ni ce que c’est que la patrie. J’ai été toujours fouetté, giflé, — voilà pour la liberté ; — pour la patrie, je ne connais que notre appartement où je m’embête, et les champs où je me plais, mais où je ne vais pas.
Je dis dans ces narrations qu’il n’y a rien comme la patrie et la liberté pour élever l’âme. Je ne sais pas ce que c’est que la liberté, moi, ni ce que c’est que la patrie. J’ai été toujours fouetté, giflé, — voilà pour la liberté ; — pour la patrie, je ne connais que notre appartement où je m’embête, et les champs où je me plais, mais où je ne vais pas. Jules Vallès