Je marque un temps d’arrêt en passant devant la cabine. L’odeur est à la limite du supportable. J’imagine ce que les égoutiers endurent pour qu’on puisse chier peinards, non, je n’imagine pas.
Je marque un temps d’arrêt en passant devant la cabine. L’odeur est à la limite du supportable. J’imagine ce que les égoutiers endurent pour qu’on puisse chier peinards, non, je n’imagine pas. Joseph Incardona