Je me contente ce matin de la radio, admirant certes ce pouvoir illimité qui a été donné aux hommes, mais songeant qu’il ne sert de rien à l’homme de gagner la Lune s’il vient à perdre la Terre.
Je me contente ce matin de la radio, admirant certes ce pouvoir illimité qui a été donné aux hommes, mais songeant qu’il ne sert de rien à l’homme de gagner la Lune s’il vient à perdre la Terre. François Mauriac