Je me prends à rêver- incorrigiblement -, quand l’une d’entre elles vient à me dire sans préambule : Je suis à vous dans un instant ! qu’elle va fermer la porte sur les derniers clients, estomper la musique, tamiser les lumières, et bientôt s’éclipser pour m’apparaître enfin dans un déshabillé arachnéen.
Je me prends à rêver- incorrigiblement -, quand l’une d’entre elles vient à me dire sans préambule : Je suis à vous dans un instant ! qu’elle va fermer la porte sur les derniers clients, estomper la musique, tamiser les lumières, et bientôt s’éclipser pour m’apparaître enfin dans un déshabillé arachnéen. Abel Castel