Je n’ai le cœur à rien. Je n’ai pas le courage d’aller à cheval, l’exercice est trop violent, ni d’aller à pied, c’est trop fatiguant ; je n’ai pas le courage de me coucher : ou bien, en effet, il me faudrait rester dans cette position, et je n’en ai pas le courage, ou bien je devrais me lever de nouveau, et je n’en ai pas non plus le courage.
Je n’ai le cœur à rien. Je n’ai pas le courage d’aller à cheval, l’exercice est trop violent, ni d’aller à pied, c’est trop fatiguant ; je n’ai pas le courage de me coucher : ou bien, en effet, il me faudrait rester dans cette position, et je n’en ai pas le courage, ou bien je devrais me lever de nouveau, et je n’en ai pas non plus le courage. Kierkegaard