Je puis maintenant dire aux rapides années : – – Passez ! passez toujours ! je n’ai plus à vieillir ! – Allez-vous-en avec vos fleurs toutes fanées ; – J’ai dans l’âme une fleur que nul ne peut cueillir !.
Je puis maintenant dire aux rapides années : – – Passez ! passez toujours ! je n’ai plus à vieillir ! – Allez-vous-en avec vos fleurs toutes fanées ; – J’ai dans l’âme une fleur que nul ne peut cueillir !. Hugo