Je refuse l’attitude manichéenne des faux intellectuels pour lesquels l’écrit serait le bien et l’image le mal, l’un la culture, l’autre le vide. Rappelons que l’image c’était, c’est Vinci ou Raphaël, et qu’ils nous disent des choses que les mots ne peuvent pas dire. D’ailleurs l’édition, qui est censée être le lieu de l’imprimé, est elle-même devenue un instrument de diffusion de l’image. Jusqu’aux hebdomadaires qui proposent aujourd’hui des fascicules sur Van Gogh !.
Je refuse l’attitude manichéenne des faux intellectuels pour lesquels l’écrit serait le bien et l’image le mal, l’un la culture, l’autre le vide. Rappelons que l’image c’était, c’est Vinci ou Raphaël, et qu’ils nous disent des choses que les mots ne peuvent pas dire. D’ailleurs l’édition, qui est censée être le lieu de l’imprimé, est elle-même devenue un instrument de diffusion de l’image. Jusqu’aux hebdomadaires qui proposent aujourd’hui des fascicules sur Van Gogh !. Umberto Eco