Je relis dans un cahier un extrait glané dans mes lectures. La mélancolie et la tristesse sont déjà le commencement du doute ; le doute est le commencement du désespoir ; le désespoir est le commencement arrêté des différents degrés de la méchanceté. J’adhère ! Perdons la méchanceté. Mais qui peut bien l’effacer ?.
Je relis dans un cahier un extrait glané dans mes lectures. La mélancolie et la tristesse sont déjà le commencement du doute ; le doute est le commencement du désespoir ; le désespoir est le commencement arrêté des différents degrés de la méchanceté. J’adhère ! Perdons la méchanceté. Mais qui peut bien l’effacer ?. Frédérique Deghelt