Je sais, moi, que l’enfant est le plus avide des chronophages, qu’il grignote le temps de travail, engloutit les jours de loisirs, dévore les heures de détente, ronge les nuits d’amour et picore jusque dans les minutes de réflexion.
Je sais, moi, que l’enfant est le plus avide des chronophages, qu’il grignote le temps de travail, engloutit les jours de loisirs, dévore les heures de détente, ronge les nuits d’amour et picore jusque dans les minutes de réflexion. Françoise Dorin