Je souffre surtout quand des jeunes gens à la fleur de l’âge, au moment même où ils sont les plus susceptibles de s’ouvrir à toutes les joies, gâtent par leur sottises le peu de beaux jours qui leur sont réservés et s’aperçoivent trop tard de l’irréparable abus qu’ils en ont fait.
Je souffre surtout quand des jeunes gens à la fleur de l’âge, au moment même où ils sont les plus susceptibles de s’ouvrir à toutes les joies, gâtent par leur sottises le peu de beaux jours qui leur sont réservés et s’aperçoivent trop tard de l’irréparable abus qu’ils en ont fait. Goethe